démocratie

Quels pouvoirs informels au sein des circuits courts et locaux agroalimentaires ? Le cas du Limousin

Cette recherche porte sur des collectifs de production agricole en circuits courts et locaux agroalimentaires (CCLA), établis dans le Limousin, souhaitant avoir un fonctionnement démocratique, inspiré directement ou indirectement de l’économie sociale. Leurs statuts et les dispositifs techniques participatifs permettent de limiter la concentration des pouvoirs et facilitent leur répartition selon un principe démocratique. Toutefois, ce fonctionnement démocratique est impacté par les pouvoirs informels liés aux rapports sociaux des membres. Il s’agit ici de repérer et catégoriser ces sources informelles de pouvoir, d’en analyser les interactions avec les sources formelles, afin de mettre à jour la gouvernance effective.

 

Numéro de revue: 
356
Année de publication: 
2020
Auteur(s): 
Marius Chevallier, Julien Dellier

Appel à communications pour le colloque « La Fabrique de la participation culturelle. Plateformes numériques et enjeux démocratiques »

31 janvier : Date limite de l’appel à communications pour le colloque « La Fabrique de la participation culturelle. Plateformes numériques et enjeux démocratiques », qui se tiendra les 6 et 7 juillet 2020 à EA Dicen-IDF Paris, Cnam, 2, rue Conté, Paris 3 e .

https://collabora.sciencesconf.org

 

De la démocratie en centre social Enquête sur les relations professionnelles dans une association de quartier

Cet article examine les relations employés-employeur (conflits, négociations) au sein d’un centre social associatif parisien. Les salariés sont très attachés à la cause du centre social, « pour le quartier », une forme de domination qui se traduit notamment par du travail gratuit. Les salariés et les employeurs sont néanmoins divisés sur les principes de légitimité de l’action collective et sur les conceptions du capital d’autochtonie : le centre social doit-il être orienté par les délibérations de son conseil d’administration (bourgeois) ou bien doit-il représenter la population parisienne dans sa diversité (populaire) ?

Numéro de revue: 
340
Année de publication: 
2016
Auteur(s): 
Francis Lebon

L’économie sociale comme réponse à la crise ? Capitalisme, territoires et démocratie, Montréal (Québec), 24/02/2015

Le CRISES vous invite à son prochain séminaire présenté par Jean-François Draperi, directeur du Centre d'économie sociale du Conservatoire national des arts et métiers (CESTES-Cnam), sur le thème "L'économie sociale comme réponse à la crise ? Capitalisme, territoires et démocratie".

David Bollier "Les communs nous aident à sortir du carcan de l’économie néolibérale"

L'observatoire des multinationales publie un riche entretien avec David Bollier à l'occasion de la sortie de son livre La Renaissance des communs. Pour une société de coopération et de partage aux éditions Charles Léopold Mayer, où il est question d'auto-organisation entre pairs, de coopération, de la différence entre les biens publics et les biens communs, de privatisation, d'enclosure, de la différence entre l'ESS et les communs ... Extraits.

Projet de loi sur la formation professionnelle, l’emploi et la démocratie sociale... et passage en force du Ministre Sapin

Le projet de loi sur la formation professionnelle et la démocratie sociale a été présenté en conseil des ministres le 22 janvier dernier, et voté en première lecture à l’Assemblée nationale le 7 février. Pour l'UDES, il contient des dispositions novatrices en matière de formation professionnelle mais également, de démocratie sociale puisqu’il accorde une place aux employeurs du « hors champ », et donc de l’économie sociale et solidaire, dans le dialogue social national et territorial à travers la création d’un niveau multiprofessionnel entre les branches et l’interprofession.  L'UDES n'évoque pas la partie «Réforme de l’Inspection du Travail» du projet où le  ministre du travail est passé en force (les annexes évoquées dans le document). 

Les principes mutualistes confrontés aux modalités de regroupement des organismes complémentaires d’assurance maladie

Les premières mutuelles ont été fondées au XIXe siècle autour de valeurs fondatrices (solidarité, refus du lucre, démocratie, liberté d’adhésion et bien-être des membres). Elles évoluent aujourd’hui dans un secteur où la concurrence d’autres formes organisationnelles se multiplie et où la réglementation prudentielle devient plus pressante. Ces transformations les ont conduites à se concentrer. Le présent article en étudie différents aspects et montre en quoi ces évolutions participent d’une possible remise en question des principes fondateurs.

Numéro de revue: 
331
Année de publication: 
2014
Fichier attachéTaille
PDF icon recma331_059075.pdf1.48 Mo
Auteur(s): 
Philippe Abecassis, Nathalie Coutinet et Jean-Paul Domin