Des dynamiques nouvelles en réponse au risque de la banalisation

Année de publication:
 2021
Numéro de revue: 

Auteur(s)

Chantal Chomel

Toute la Recma

  • 2010
    • 2019
    • 2018
    • 2017
    • 2016
    • 2015
    • 2014
    • 2013
    • 2012
    • 2011
    • 2010
  • 2000
    • 2009
    • 2008
    • 2007
    • 2006
    • 2005
    • 2004
    • 2003
    • 2002
    • 2001
    • 2000
  • 1990
    • 1999
    • 1998
    • 1997
    • 1996
    • 1995
    • 1994
    • 1993
    • 1992
    • 1991
    • 1990
  • 1980
    • 1989
    • 1988
    • 1987
    • 1986
    • 1985
    • 1984
    • 1983
    • 1982
    • 1981
    • 1980
  • 1970
    • 1979
    • 1978
    • 1977
    • 1976
    • 1975
    • 1974
    • 1973
    • 1972
    • 1971
    • 1970
  • 1960
    • 1969
    • 1968
    • 1967
    • 1966
    • 1965
    • 1964
    • 1963
    • 1962
    • 1961
    • 1960
  • 1950
    • 1959
    • 1958
    • 1957
    • 1956
    • 1955
    • 1954
    • 1953
    • 1952
    • 1951
    • 1950
  • 1940
    • 1949
    • 1948
    • 1947
    • 1946
    • 1945
    • 1944
    • 1943
    • 1942
    • 1941
    • 1940
  • 1930
    • 1939
    • 1938
    • 1937
    • 1936
    • 1935
    • 1934
    • 1933
    • 1932
    • 1931
    • 1930
  • 1920
    • 1929
    • 1928
    • 1927
    • 1926
    • 1925
    • 1924
    • 1923
    • 1922
    • 1921
    • 1920

Une introduction au texte de Jacques Moreau, 1991, « De la banalisation de l’économie sociale », Recma, n° 37(1), p. 8-11.

À la fin des années 1980, le grand mouvement de libéralisation de l’économie est en marche, et cette évolution – souhaitée par les uns et crainte par les autres – prend à revers l’ESS, dont les entreprises ont tendance à se focaliser sur les produits et les services au détriment du fonctionnement coopératif (sociétariat et démocratie coopérative). Comme si la standardisation des conditions de production des biens et des services devait nécessairement entraîner une banalisation des coopératives ou des mutuelles.

La tribune de Jacques Moreau (citant la position d’Étienne Pflimlin, alors président du Crédit mutuel, qui explique comment son organisation incarne « l’anti-banalisation ») rappelle fort opportunément que la thématique de la banalisation fait partie des controverses qui jalonnent l’existence de l’ESS, dès lors que les entreprises de ce secteur s’adaptent aux marchés dans lesquels elles opèrent.