FNIM

Le bilan mutualiste des mesures prises sous le quinquennat

De plus en plus soumis à la double pression de la concurrence du marché et des contraintes règlementaires qui lui sont imposées par l’Etat ou par l’Union européenne, le monde mutualiste a vu ses marges de manœuvre se rétrécir considérablement depuis une vingtaine d’années. Si la dynamique concentrationnaire à l’œuvre depuis une quinzaine d’années se justifie par des arguments économiques (réserves prudentielles), elle n’en traduit pas moins une perte d’autonomie des mutuelles.

La FNIM poursuit son action contre la directive Solvabilité 2

La Fédération nationale indépendante des mutuelles (FNIM), réunie en assemblée générale le 19 juin dernier, demande le retrait du décret du 13 novembre 2014 relatif au contrôle des compétences et de l’honorabilité des administrateurs. « Ce texte est un scandale absolu », estime Philippe Mixe, président de la FNIM, qui rappelle que les élus mutualistes tiennent leur légitimité de l’élection.

Mutuelles santé : la risposte de la Fnim face à Solva 2 et la réforme ACS

Philippe Mixe, président de la Fédération nationale indépendante des mutuelles (FNIM), a annoncé, lors d’une conférence de rentrée, la création d’une union de groupe mutualiste (UGM), pour répondre au prochain appel d’offres sur l’aide à la complémentaire santé (ACS), ainsi que le lancement d’une nouvelle démarche juridique pour exclure les mutuelles santé du champ de Solvabilité 2.

Mutuelles santé: "la course à la taille n'est pas une fatalité"

Philippe Mixe, président de la FNIM, défend un modèle de mutuelle "à taille humaine". Il s'insurge contre les concentrations, les accords de branches en assurance santé et les nouvelles normes Solvabilité 2. Le Président de la fédération nationale indépendante des mutuelles défend une autre idée de la mutualité. Lors d'un rendez-vous avec la presse mercredi 10 octobre, il s'est fait le défenseur des petites mutuelles. La fédération que Philippe Mixe préside, regroupe en effet une trentaine de mutuelles santé qui ensemble couvrent 1,5 millions de personnes protégées.