Leclerc

Le top 100 des coopératives

Comme chaque année, Coop FR a publié sur son site le classement des cent premières entreprises coopératives françaises en fonction de leur chiffre d’affaires. Les banques coopératives et les coopératives de commerçants occupent le haut de la sélection, avec le groupe E. Leclerc au premier rang, suivi du groupe Crédit agricole et du groupe BPCE (Caisse d’épargne, Banque populaire, Crédit coopératif). Système U et le groupe Crédit mutuel occupent la quatrième et la cinquième places.

La France bien placée dans le top 300 mondial des coopératives

Le World Cooperative Monitor (Observatoire mondial des coopératives) a publié fin janvier son 8 e rapport, fruit d’une collaboration entre l’ACI et Euricse (European Research Institute on Cooperative and Social Enterprise). Fondé sur les données financières de 2017, ce rapport a vocation à présenter les 300 coopératives et mutuelles ayant le chiffre d’affaires le plus élevé au niveau international.

Peut-on rester compétitif sur le marché sans faire appel aux capitaux extérieurs ? Le cas de la coopérative Leclerc

"Le développement coopératif est souvent traité sous l’angle des alliances, fusions, ouverture de capital… Comment une coopérative autocentrée, peu ouverte sur l’extérieur, peut-elle maintenir sa taille et sa compétitivité sur le marché ? La fidélisation des membres constitue un enjeu de taille que se propose d’analyser cet article, à travers le cas de la coopérative Leclerc, en s’appuyant sur la théorie des droits de propriété et sur la théorie de l’agence. La coopérative Leclerc a connu deux crises importantes dans son histoire ; elles ont permis de mettre au point à la fois des incitations (système de parrainage) et des restrictions (limitation des possibilités de transfert) au droit de propriété, dans le but de fidéliser les adhérents et de les renouveler pour assurer un développement sur le long terme. La triple qualité de l’adhérent, apporteur de capital, utilisateur des services et décideur (obligation de consacrer un « tiers temps » à la gestion de la coopérative), facilite la conjonction des intérêts et limite les coûts d’agence. Si ces mécanismes ont prouvé leur efficacité, l’auteur montre qu’une extension de la taille de la coopérative paraît cependant compromise."

Numéro de revue: 
298
Année de publication: 
2005
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Auteur(s): 
Baron M.-L.

Les coopératives de commerçants. Le renouvellement des adhérents et l’ouverture internationale

Les termes de groupement ou de commerce associé sont, dans ce champ, utilisés plus fréquemment que celui de coopérative de commerçants. En effet, les groupements à statut coopératif unique ou dominant représentent 80 % des groupements qui s’appuient sur une participation égalitaire des commerçants. Ces groupements d’indépendants se sont imposés comme une véritable alternative face aux enseignes du commerce intégré. L’article analyse quelques enjeux importants pour le développement des coopératives de commerçants et la pérennisation des réseaux : réussir la transmission d’entreprises, soutenir le financement des adhérents et assurer une ouverture à l’international.

Numéro de revue: 
307
Année de publication: 
2008
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PDF icon 307_078086.pdf195.31 Ko
Auteur(s): 
Fanny Ponsot