Comité économique social européen (Cese)

Éric Chenut, président nouvellement élu de la Mutualité française

Le poste de président de la Fédération nationale de la Mutualité française (FNMF) était vacant depuis l’élection, en mai dernier, de Thierry Beaudet à la présidence du Conseil économique, social et environnemental (Cese). Le 4 octobre 2021, le candidat Éric Chenut a été élu par les 652 délégués de l’assemblée générale avec 71,5 % des suffrages, face au général Jean-François Furet-Coste, président de la mutuelle des militaires Solidarm. Comme son prédécesseur, il vient de la MGEN et du groupe VYV, où il était administrateur délégué.

Le président de la Mutualité française candidat à la présidence du Cese

Thierry Beaudet, président de la Fédération nationale de la Mutualité française et du groupe VYV, est récemment revenu au Conseil économique, social et  environnemental (Cese), où il avait déjà siégé de novembre 2010 à septembre 2016 en tant que président du groupe Mutualité, vice-président de la section  des affaires sociales et de la santé et membre de la commission dépendance.

La déclaration de Strasbourg II remise à la nouvelle Commission européenne

À Strasbourg, capitale européenne et siège du Parlement européen, qui arborait également durant l’année 2019 le titre de « capitale européenne de l’ESS », des collectivités territoriales (la Ville et l’Eurométropole de Strasbourg), des réseaux locaux et nationaux de l’ESS ainsi que Christophe Itier, Haut-Commissaire à l’ESS et à l’innovation sociale, et Luca Jahier, président du Cese (Comité économique et social européen), se sont réunis le 27 novembre 2019 à l’occasion de la 4 e édition de la Journée européenne des entreprises de l’économie sociale.

Les vrais chiffres du bénévolat

Les bénévoles sont-ils près de 12 millions en France, comme l’annonce l’Insee, ou 22 millions, comme l’avancent d’autres études ? Le site « Associations mode d’emploi » a établi une intéressante confrontation des différents périmètres retenus par cinq enquêtes nationales, synthétisés dans un tableau à double entrée, tout en rappelant qu’aucun chiffre n’est faux : tout dépend de ce qui est compté et de ce que l’on cherche à mettre en valeur.

Vers une reconnaissance de la lucrativité limitée dans l’UE ?

L’entreprise de l’ESS bientôt mieux reconnue au sein de l’Union européenne ? Ce n’est pas une utopie. Actuellement, l’article 54 du traité de fonctionnement de l’UE ne reconnaît que deux modes d’entreprendre. D’un côté, les entreprises commerciales « classiques » de type capitaliste, mues par une logique de profit. De l’autre, les structures à but non lucratif qui relèvent du secteur caritatif et du bénévolat.