Les associations alertent sur la question de la protection des mineurs

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En février 2022, le vote de la loi sur la protection de l’enfance, dite « Loi Taquet » laissait espérer une amélioration dans la prise en charge des mineurs. Un an plus tard, 35 associations, parmi lesquelles la CIMADE et UNICEF France, dénoncent le manque de moyens pour la mise en œuvre de ces mesures, les disparités territoriales. Ils lancent un plaidoyer pour le respect des droits des enfants présents sur le territoire français, la situation des mineurs isolés, étrangers et sans papiers étant particulièrement critique. Le regroupement d’associations « Cause majeur ! », appelle à faire de l’accompagnement après 18 ans, « un droit opposable pour tout jeune vulnérable, jusqu’à son inclusion pleine et entière dans la société ».
Co-rédigé par l’AADJAM (association pour l’accès aux droits des jeunes et d’accompagnement vers la majorité), la Cimade, le Gisti (Groupe d’information et de soutien des travailleurs immigrés), InfoMIE, Médecins du Monde, le Secours Catholique-Caritas France et UNICEF France, le plaidoyer énonce 90 propositions, notamment « assurer la scolarisation et l’accès à une couverture santé dès le premier accueil ».
De la veille sur les vulnérabilités sociales à leur prise en charge, le travail des associations est indispensable pour corriger la vision des administrations, trop souvent surplombante et déconnectée de la réalité de terrain. L’État social ne peut donner sa pleine mesure sans l’intervention de ces auxiliaires.
À lire sur le site de l’UNICEF : https://unicef.hosting.augure.com/