Les associations d'aide à domicile critiquent la concentration des aides sur les particuliers employeurs

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Dans un communiqué commun du 23 juin intitulé "300 millions pour l'emploi direct à domicile, mais aucune mesure pour les services d'aide à domicile !", les quatre principales fédérations de l'aide à domicile interpellent le gouvernement sur la situation du secteur et le déséquilibre des aides entre le secteur associatif et les particuliers employeurs. Les quatre signataires sont l'UNA, l'ADMR, l'Adessa Domicile et la FNAAFP/CSF.

 

Les signataires estiment que "l'annonce de la baisse des charges sur l'emploi direct n'arrive pas à dissimuler les renoncements des pouvoirs publics vis-à-vis de l'aide à domicile pour les plus fragiles. Aucune mesure, en effet, n'est programmée pour les services d'aide à domicile et leurs 220.000 salariés". Les associations d'aide à domicile ont ainsi le sentiment d'être défavorisées face à leurs deux principaux "concurrents". D'un côté, la Fepem (Fédération des particuliers employeurs) est en passe d'obtenir du gouvernement - au nom de l'emploi et grâce à un habile lobbying - un geste significatif en matière d'allégement des charges sociales (voir nos articles ci-contre). De l'autre côté, les entreprises d'aide à domicile vont bénéficier du CICE (crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi), contrairement aux associations. Dans leur communiqué commun ces dernières demandent donc "la mise en place d'un dispositif comparable pour les associations". Mais elles observent que "le gouvernement reste sourd à leur demande".

Lire l'article complet de Jean-Noël Escudié sur le site Localtis.